• 1 Février (écrit par Cédric)

    Il fait frais ce matin, nous nous préparons pour l'ascension du vocan en prenant soin de ne rien oublier. Nous arrivons à l'agence, tous les membres,de l'excursion sont là, un bon nombre d'israélien, 2 suisses et nous. Les giudes nous distribuent le matériel nécessaire pour le sommet: piolet, guêtres, pantalon en endura et crampons; pour la descente: un bonnet, des gants et surtout un accessoire qu'on ne trouve que là bas, une luge en endura qui s'enfile un peu comme un short !!

    Pour la première partie, nous avons le choix soit de prendre le télésiègeou de monter à pied. Le télésiège, nous sommes tous les deux d'accord, c'est pour les coiffeurs !! Donc, ça sera à pied ! Ricardo notre guide nous attend à la fin du remonte pente. Il nous donne quelques explications, comme l'utilisation du piolet et c'est PARTI !

    Nous commencons à monter sur de la terre, enfin plutôt de la roche volcanique, puis sur de la neige qui ne nécessite pas de mettre les crampons. Ricardo est super sympa. Nous progressons doucement mais sûrement. Nous rattrapons le 1er groupe et faisons une première pause de 10 minutes bien nécessaire pour Emilie, mais elle assure grave, je suis impressionné !! Ensuite nous continuons tranquillement comme si nous montions les marches d'un escalier au rythme du piolet et de notre respiration. La deuxième pause très courte se situe juste avant le sommet, à 50 mètres du cratère, nous avançons sur de la lave (bien évidemment froide !). Avec les vents forts, Emilie reçoit une poussière de roche dans l'oeil et à plusieurs reprises, elle s'injecte à l'aide d'une seringue de l'eau pour extraire l'intrus.

    À quelques mètres de l'arrivé je la laisse passer devant, c'est son premier somment à 2800m. Elle le mérite, je suis très fière d'elle ! Le spectacle est impressionnant, un cratère gigantesque, bordé de contours jaunes, s'ouvre devant nous. Il s'en dégage une fumée âpre, toxique et irrespirable qui est chargée de soufre !! Emilie n'arrive pas à tenir dans cette enfer, elle se met à l'abris. Moi, le nez dans ma veste, je fais le tour avec Ricardo pour essaye de voir au plus profond et faire des photos de la vue qui s'offre à nous. C'est en apnée que je réussi à photographier le cratère mais je dois fuir immédiatement !

    Nous amorçons la descente sur ces fameuses luges, accompgnés d'une bonne partie de rigolade avec le groupe et les guides. La journée se termine devant une bière dans la cour de l'agence.

     

    2 Février (écrit par Emilie)

    Réveillé par surprise pendant la nuit, par la pluie. Cédric sort de la tente pour mettre à l'abri les affaires qu'on avait laissées à l'extérieur. Malheureusement tout est déjà pratiquement trempé. Le matin est rude !! On doit se lever tôt pour tenter de rejoindre Santiago du Chili en stop !! Mais avec la pluie et mon manque de motivation, Cédric cède et on part en ville voir le pris des billet de bus. Pour midi, on se trouve un petit resto à l'arrière d'une épicerie loin de cette faune touristique: petit moment sympa entouré des locaux.

    L'après midi nous sert à graver un CD des photos et télecharger une bonne partie sur le blog.

    Le soir, départ pour la prochaine étape et une nuit Supplémentaire dans le bus.

     

    3 Février

    Arrivé à 9 heures dans la capitale chilienne, on décide de ne rester qu'une nuit, puis repartir vers Mendoza en Argentine. C'est un peu déroutant ! Après avoir passé un mois en Patagonie, dans une ambiance paisible et familiale, on arrive dans une mégalopole, où les gens sont tout aussi stressés qu'à Paris !! On se dirige tout de suite vers l'auberge que deux australiens tiennent. Ils ont racheté une immense bâtisse,d'un style colonial, qu'ils ont retapée. C'est magnifique, il y a deux grands patios avec des palmiers, une immense cuisine très bien équipée et la cerise sur le gâteau, un très beau jardin avec un bar qui donne sur la piscine ! Pour vous faire rêver, le site: La casa roja, sur google (vous pouvez mettre la page en français). On s'installe dans la chambre, c'est notre première nuit dans un vrai lit depuis notre départ de Buenos Aires !!

    Ensuite direction le centre pour faire la visite des rues principales et des musées. On se dirige vers le Funiculaire pour apprecier cette ville depuis le plan de vue. C'est gigantesque on a beau se tourner vers le nord jusqu'au sud, on ne voit que des constructions à perte de vue. La résistance que cette Cité rencontre, c'est le relief andin qui nous fait face.

    De retour à l'auberge, on partage le diner avec deux américains de New York.

     

    4 Février (écrit par cédric)

    Après une super nuit reposante, nous quittons Santiago pour traverser la Cordillère jusqu'à Mendoza. C'est ici que les reliefs sont les plus hauts, les paysages sont vraiment grandioses ! La route serpente dans les vallées et nous passons le col à 3200m pour redescendre de l'autre côté et passer les 2 douanes. Avant la douane argentine, nous pouvons apercevoir au loin le massif de l'Aconcagua. Le passage de la douane est très long comme d'hab' et nous arrivons à Mendoza à 17h. Dans le bus on rencontre une israelienne, Ela, qui nous accompagne en ville pour chercher une auberge. La pauvre est malade, elle se couchera immediatement dès notre arrivée. Dans ce petit gîte, on rencontre Trin, une française qui fait un trip d'un an avec une amie. On lui propose d'aller manger un bout ensemble, et de se balader dans les rues de la ville.

     

     


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  • 26 Janvier

    Je n'ai presque pas dormi au réveil la fondue m'est restée sur l'estomac. On avait décid´de partir pour San Martin de los Andes, Daniel et leti nous y avait invité. Mais je ne suis pas capable de prendre un bus. Donc on passe la journée à se reposer et se refaire une santé. Enfin de journée, on va faire un tour dans la seule rue de la Colonia Suiza. Il y a une féria, on profite pour flaner et admirer le travail artisanal des "hippies". C'est assez halucinant, la concentration de Baba Cool en Patagonie, j'adore !! On a croisé plusieurs Français qui partaient a El Bolson, au sud de Bariloche, `pour faire du Woofing dans des fermes Bio.

    Le soir on ne se couche pas trop tard pour ètre d'attaque pour notre départ de demain.

     

    27 Janvier

    on se réveil tôt, le bus est à 9 heures. On prépare les affaires, c'est avec un certain empressement, qu'on prend le petit déj pour se diriger vers de nouvelle aventures.

    Le bus nous dépose au centre ville. Le temps de faire des course pour la route et on se poste à la sortie de la ville pour faire du stop. Ce n'est pas très concluant, au bout d'une heure, je tente de perséuader Cédric de prendre un bus, j'ai préparé pendant catte assez d'arguments pour le faire flancher, YES !!

    Le bus part à 13h. Les paysages sont magnifiques, On traverse la région des 7 Lacs, j'essaye de ne pas m'endormir comme à mon habitude. 

    Arrivé dans cette petite ville pleine de charme bordée d'un lac Laguna Lacar. On fait un petit tour dans le centre. On retrouve nos amis dans une toute petite maison en bois, quelque peu délabré, mais super mignonne. Benjamin, notre hôte, nous accueille et nous propose de partager la pièce qui fait salon, salle à manger et cuisine avec Daniel et Leti. C'est un personnage, il est vraiment particulier, il est capable de rester pendant 2 à 3 mois sans bouger de cette petite ville et juste bouquiner toute la journée. Son amie Keila est une brésilienne qui est là pour les vacances, elle est un peu timide au début. Donc ce soir pas besoin de monter la tente, Cédric est seulement de corver: gonlage de matelas que Ben nous prête volontier. Ce soir , c'est notre baptême au Empanadas (chaussons fourrés à tout sorte de choses: fromage viande, légumes, oeufs...), c'est le plat national. Délicieux, mais super gras !!! Et pour le dessert, Cédric ne peut s'empêcher d'engloutirdu Dulce de Letche (confiture de lait). Un délice pour les papilles, mais un supplice pour ma ligne...

     

    28 Janvier

    Grasse mat', et Farniente. Après un réveil tout en douceur, on prend un bon petit déj' composé de Facturas ( petite viennoiseries). Pendant que Cédric et Daniel partent changer de l'argent. Moi et Léti decidont de replonger dans nos lit pour profiter de notre journée !!! Par chance j'ai trouvé en Leti , une allier à ma cause, on va pouvoir imposer quelques sièstes pendant ces quelques jours. 

    Dans l'après midi, on part réserver une demi journée de rafting pour le lendemain. 

    On termine la soirée aavec un bon repas, en tenant compte de l'habitude des argentins de manger à 23 !

     

    29 Janvier

    On se réveille tout doucement, on a le temps le mini bus pour le rafting ne vient nous chercher qu'à 13h. La pauvre Leti appréhende un peu, et pour cause, elle ne sait pas nager. Dans le minibus on est que tout les 6, Daniel en profite pour faire le pitre. Direction Junin et le Volcan Lanin que l'on va pouvoir appercevoir de loin. 

    Le rafting, très bon moment!  J'avoue, au début, je n'en menais pas large. Mais après quelques balotages et cris quelques peu aigüs, je me suis détendue. Cédric, lui, toujours très à l'aise, comme d'habitude !!  On a même eu le droit de sauter d'un rocher!!

    Après cette intense après midi, on décide de s'offrir le resto. Notre petit drickounet qui est comme tout le monde le sait un estomac ambulant, a trouvé sont double argentin: Daniel !!! Ils font la paire ces deux là !! Après avoir dévoré chacun un énorme sandwich, il n'ont pas pu résister à en commander un second !

    Pendant notre petite balade digestive dans les rues du centre ville, on tombe sur un groupe de musique brésilienne. Et Keila nous fait une magnifique démnonstration de danse brésilienne. Y pas à dire, elles ont ça dans le sang !!!

    On ne se couche pas trop tard car le lendemain on doit se rendre à Junin pour tenter de se faire prendre en stop jusqu'à Pucon, première ville du côté chilien.

     

    30 Janvier

    Debout 7 heures, Daniel et Leti, nous accompagnent jusqu'à Junin, ce dimache, il y a une féria de Gaucho ( les cowboy argentins). Ils sont vraiment adorables, au lieu de se diriger vers la féria, ils restent avec nous au bord de la route en attendant qu'on soit pris en stop. Au bout d'un certain temps on décide de faire du stop , tout en les accompagnant vers la féria, c'est sur notre chemin. Complètement écoeuré par notre deuxième échec en tant qu'auto stoppeurs, on se console en les accompagnant à la féria. 

    C'est génial, on est transporté dans un autres monde, il y des gauchos de partout, et de toute les sortes. Les vrais, les pures et durs comme dirait Cédric, ceux qui n'ont que leur cheval comme moyen de locomtion et comme revenu. Et les autre les propriétaires de terres et de bétail. Ça parait caricaturer, mais c'est relativement vrai. On assiste d'abord au défilé des propriétaires avec leur chevaux primés. et ensuite des plus gros taureaux, Enormes !!!  Ensuite c'est le concours de saut d'obstacle, et après le moment tant attendu par toute la population la course des gauchos. la première cèst une course d'agilité, ils doivent slalomer entre des tiges de bambous, allé-retour. Et la deuxième la plus époustouflante, ils se mettent par équipe de deux, l'un est sur le cheval et doit tirer l'autre couché à terre sur une peau de vache. Arriver au bout de l'arène, ils doivent échanger leur place et revenir le plus vite possible. OUAHOU, ils sont fous ces Gauchos !!!

    Le soir on rentre à San Martin, pour prendre le bus le lendemain matin...

     

    31 Janvier

    Levé à 5 heure, le bus pour Pucon est à 7 heure. On leur dit au revoir avec un petit pincement au coeur, j'aurai bien aimé faire encore un bout de chemin ensemble. Mais c'est pas grave on les retrouvera pour nos derniers jours à Buenos Aires.

    Le trajet est long, surtout le passage à la douane, ça nous prend 2 heures de sortir tout les sacs et de les faire passer au rayons X, pour vérifier qu'on n'importe pas de matériel ni de fruits et légumes. Je connaissai les importantes mesures de sécurité Israelienne , mais là c'est exagéré !!!

    Arrivé à Pucon, on a l'impression de se retrouver dans une ville de la côte méditéranéenne en plein mois d'août, on décide de rester le moins lontemps possible. On va tout de suite se renseigner pour faire l'assenscion du volcan Villarica, mais mauvaise nouvelle. Si on tente de la faire seule, on risque d'être refoulerà l'entrée duparcpar les gardes. On doit passer par un tour opérateur et le faire avec un groupe et un guide. Les prix sont excessifs mais on a pas trop le choix. On en fait plusieurs avant de trouver celle qui nous parait avoir l'état d'esprit qu'on recherche. 

    Le soir au camping, Cédric fait la rencontre de deux français, dont un guide de moyenne montagne. Eux ont décidé de tenter leur chance à l'entrée du parc sans autoriation, on verra demain soir. Il faut à nouveau se coucher tôt on doit être à l'agence le lendemain à 7h30.  


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  • 25 Janvier

    J'ai mis le reveil à 8 h, je mettais renseigner auprès d'Ernesto la veille (l'un des moniteur locaux). Et aujourd'hui c'est tout bon pour aller voler ! Du coup Emilie se lève avec moi.

    IL est 8h55, je suis à la bourre pour prendre le bus qui m'emmène à Bariloche. J'ingurgite mon bol de céréal saute dans mon pantalon et mes chaussures. Ernesto viendra me chercher sur la place principale à 12h30, cela me laisse le temps de boire un jus d'orange sur une terrasse et me ballader. Emilie retrouve Daniel et Leti pour passer une journée farniente, les doigts de pied en éventail au bord du lac Moreno. A Bariloche, les parapentistes sont obligés, la plus part du temps, de prendre un taxi pour monter au décollage et de payer 60 pesos. Ernesto me loue une vielle voile école à ma taille, mais tout de mêe en parfaite état. Je monte avec Juan en taxi, un pilote solo qui n'a pas beaucoup d'heure de vol. Nous arrivons au décollage du Cerro Otto, le ciel est voilé par des nuages d'altitude, cela ne nous permet pas un super vol. Durant la journée, nous ferons 3 vols, le dernier sera un peu miex pour ma part. Une fois rentré à la Colonia Suiza, je rejoint Emilie et nos amis. Dans l'après midi, jai reçu un mail de mon frère Cyril qui m'annoce une bonne nouvelle!

    La demande de financement aupès de la région Alsace est passée. Nous allons fêter cela au resto autour d'une bonne fondue, c'est leur première à Daniel et Leti.


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  • 23 Janveir

    Toujours et encore un réveil difficile, 3 semaines de tente, ça laisse des traces.

    Ce matin Cédric prend la décision de rebrousser chemin, si les jours qui suivent sont identiques à hier, je vais finir notre trip sur les genoux. J'accueille cette nouvelle avec beaucoup d'enthousiasme, mais j'appréhende, bien évidemment, déjà cette journée.Mes chaussures sont toujours aussi trempées, je suis gelée, j'attend avec impatience les premiers rayons du soleil. mais qui dit soleil, dit attaques inscessantes des moustiques !!!

    Donc, on refait tout, mais dans le sens inverse: 

    La première descente se passe relativement bien, arrivé en bas mes chaussures sont pratiquement sèches, mais c'est sans compter sur mon irresistible capacité à boire la tasse dans le cour d'eau !  Et de DEUX !!!

    Nous refaisons une pause avant d'attaquer cette terrible montée. Je suis complètement flipper. Après 3 heures de marche, on arrive au sommet, il ne nous reste plus que le passage autour du lac et ensuite c'est cette super balade le long d'un cour d'eau qui nous attend. Cédric commence à souffrir du dos, il est chargé comme un mulet, le Pauv' petit Pupuce !!

    le repos est proche, on s'arrête à nouveau au campement de notre première nuit, pour remplir le camel bag de drickounet et vider mes chaussures de tout le sable accumulé.

    Mais bien sûr si on s'était arrêté là, ça n'aurai pas été marrant, les maux de ventre commencent à appaître: je ne sais pas si c'est l'eau  avec la pastille de chlore ou une déshydratation, je penche plus pour la déshydratation et donc je me force à boire un maximum. Cédric doit pratiquement s'arrêter tous les queart d'heurepour reposer son dos.On marche comme des zombis, on est à plus de 11 heures de marche. On a une sensation désagréable, notre ne commande plus rien, le corps n'est plus qu'un automate, on est déconnecté.

    Dès l'arrivée à la Colonia Suiza, on s'arrète dans le premier bar et on commande à boire. Le soulagement est de courte durée, malgré qu'il ne nous reste plus qu'un km avant le camping, je vomis trippes et boyaux toutes la nuit. Cédric est mort de fatigue...

     

    24 Janvier

    Le réveil n'est pas terrible. On est tout cassé, on va passé la journée à récupérer. les maux de ventres sont toujours de la partie.

    Cédric se renseignepour voler en parapente, et passe quelques coups de fil. Pour aujourd'hui, c'est rapé, ça vole à El Bolson, c'est trop loin: Il essayera demain. On est déjà couché quand Daniel et Leti viennent nous proposer de manger ensemble. On pensait qu'ils étaient partis. Ça fait du bien de voir des visages amicaux, on commençait à avoir le cafard. On fait l'effort de se relever d'aller manger quleques chose de léger au resto, malgré la fatique c'est une bonne soirée.


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  • Pause de midiAu fond à gauche le Laguna C.A.B.Laguna NegroMontée vers Laguna NegroDébut du Trek vers Pampa LindaPetit magasin de la Colonia SuizaLa place principaleLa petite place du marchéLe Lac Nuahel HuapiBarilocheTêtes de GuanacoSur la route de BarilocheEl ChaltenEl ChaltenLe Fitz RoyPremière rencontre avec Daniel et Leti Pic vert de MagellanVallée d'El ChaltenLe Perito MorenoLe Perito MorenoLe Perito MorenoLe Perito MorenoEl CalafateEl CalafatePassage de la frontière chilienne!Fin du trek Torres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del Paine, dernier campementTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del Paine, la douche portative...Torres Del Paine, le magnifique Glacier GreyTorres Del Paine, le magnifique Glacier GreyTorres Del Paine, le magnifique Glacier GreyTorres Del Paine, le magnifique Glacier GreyTorres Del Paine, le magnifique Glacier GreyTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del PaineTorres Del Paine, premier campementTorres Del PaineArrivée au parc Torres Del PainePetit kiosque de moules séchéesBon courage pour l'électricien...Bonne appétit!!L'église de Puerto NatalesEdwardo à Punta ArenasL'auberge d'EdwardoIsla MagdalenaVue de la colonie des Pingouins de MagellanPingouins de MagellanPingouins de MagellanPingouins de Magellan


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